«Entre les mois de mai et août 1944, "l'affluence" est tellement grande que les cinq chambres à gaz (chacune prévue pour mille personnes), fonctionnant nuit et jour, ne suffisent plus. On fait la queue devant les crématoires, on attend patiemment des heures entières dehors, souvent déjà déshabillé, tout nu, on reste des heures sur le gazon...»